ROBOTS D'ALIMENTATION LA NOUVELLE TENDANCE
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VOUS AVEZ AIMÉ LE ROBOT DE TRAITE, VOUS ALLEZ ADORER LE ROBOT D'ALIMENTATION. Davantage que le premier, il vous assurera une économie en temps de travail non négligeable. D'autant que désiler, charger et vider une mélangeuse n'est pas l'activité la plus enrichissante pour un producteur de lait. Les constructeurs de robots insistent aussi sur l'amélioration des performances zootechniques permise par des distributions fractionnées tout au long de la journée grâce à cet automate. Il s'en suivrait plus de fourrage ingéré par les vaches laitières, moins de stress pour les animaux dominés et très peu de refus. Pourquoi pas ! Si les premiers éleveurs équipés confirment, cela reste à vérifier objectivement. Une expérimentation est en cours avec l'Institut de l'élevage et Arvalis. On peut isoler trois grands types de robot : le wagon sur rail, le chariot automoteur et le convoyeur à tapis. Sauf à s'offrir des silos-tours qui permettent d'automatiser complètement le système, tous les robots disposent de cellules de stockage intermédiaire, que l'éleveur doit approvisionner régulièrement. Dans ce dossier, nous vous présentons six marques d'automates qui fonctionnent aujourd'hui en France. Mais il existe d'autres constructeurs, citons : GEA, Cormall, Pellon, Wasserbauer, etc. Certains sont très présents en Europe du Nord, en Suisse ou en Autriche. Enfin, l'investissement reste assez lourd : 100 000 à 280 000 € selon le niveau d'équipement et les aménagements à réaliser dans le bâtiment.
DOMINIQUE GRÉMY
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